samedi 6 mars 2010

les génériques


Qu'est-ce qu'un médicament générique ?

Quand le laboratoire A crée un nouveau médicament original il dépose un brevet qui lui garantit une exclusivité moyenne de 20 ans
après 20 ans...
Les laboratoires concurrents B, C, D, E... ont chacun le droit de développer, fabriquer et commercialiser un médicament moins cher et équivalent au médicament original.
Ces nouvelles versions équivalentes sont distribuées en pharmacie sous des noms et parfois des présentations différentes.

Pourquoi les génériques sont-ils moins chers ?

Créer et lancer un nouveau médicament engendre des coûts très importants de recherche et de développement.
Ce n'est pas le cas pour le développement des médicaments génériques.
Votre pharmacien peut-il vous délivrer un générique ?

Le Ministère de la Santé a officiellement accordé à votre pharmacien la possibilité de remplacer un médicament qui vous est prescrit sur ordonnance par un médicament équivalent au même dosage, avec la même efficacité et la même tolérance.
Vous pouvez lui faire confiance, il connaît parfaitement les médicaments et agit toujours avec le souci de préserver votre santé.
Votre pharmacien doit délivrer le générique correspondant au médicament princeps. Si le médecin indique "non substituable" à côté du princeps (et pour chaque princeps), vous n'aurez pas de générique. Vous pouvez aussi refuser la substitution, mais dans ce cas, vous perdez le bénéfice du tiers payant dans la très grande majorité des CPAM départementales.
L'Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé (A.FS.SA.PS.) met régulièrement à jour un document officiel (Le répertoire des Groupes Génériques) dans lequel sont précisément listés et répertoriés chacun des médicaments originaux avec toutes leurs copies génériques agréées.

La prescription de votre médecin est-elle respectée ?

Votre pharmacien respecte la prescription de votre médecin. En effet, celui-ci vous prescrit un médicament (molécule) correspondant aux symptômes que vous avez lors de la consultation. Votre pharmacien vous délivrera la même molécule, au même dosage et garantie par l 'Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé.

vendredi 6 novembre 2009

ACTIVITÉ

Production Écrite et Orale


15 MINUTES DE PRÉPARATION


CAS À PRÉPARER


Monsieur Bertrand M., 40 ans, instituteur, marié, sans enfants, consulte pour un mal de gorge persistant. Il a déjà pris des antibiotiques 5 jours auparavant. Il se plaint toujours d’une dysphagie accompagnée de fièvre.


Votre tâche :


Imaginez les antécédents médicaux de ce monsieur.
Quelles sont les hypothèses diagnostics que vous pouvez déduire ?
Est-ce une infection virale ? Si oui, laquelle ?
Vous annoncez au patient votre diagnostic. Jouez la scène à deux.


UN PEU DE GRAMMAIRE POUR LE MEDECIN

Feedback grammatical
(5 mn) La certitude et le doute. L’indicatif, le subjonctif et le conditionnel.

- Choisissez la bonne réponse : indicatif/subjonctif/Conditionnel et dites si la phrase est une certitude ou un doute.

Verbes d’opinion :
1. Je crois que vous ... → JE CROIS QUE + indicatif/subjonctif/Conditionnel
2. Je penche pour …/ Je pencherais pour …→ indicatif/subjonctif/Conditionnel
3. Je dirais que vous …→ +indicatif/subjonctif/Conditionnel
4. Vous devez avoir…→ indicatif/subjonctif/Conditionnel

Formes impersonnelles :
5. Il est probable que vous … → IL EST PROBABLE + indicatif/subjonctif/Conditionnel
6. C’est vraisemblablement … → indicatif/subjonctif/Conditionnel
7. Cela pourrait bien être … → indicatif/subjonctif/Conditionnel
8. C’est sans doute…→ indicatif/subjonctif/Conditionnel
9. Il y a de bonnes chances/probabilités pour que vous …→ POUR QUE + indicatif/subjonctif/Conditionnel
10. Il est certain que vous …→ IL EST CERTAIN QUE + indicatif/subjonctif/Conditionnel


Activité d’application 3 : (10mn)
Classez ses constructions du médecin de certitude /possibilité/ doute en 4 colonnes.

Il y croit : Il y croit un peu : Il n’y croit pas beaucoup : Il n’y croit pas du tout :

C’est possible/Ca m’étonnerait/C’est peu probable/C’est impossible/Ce n’est sûrement pas/Ca ne doit pas être/ Cela y ressemble/J’en doute/J’en suis persuadé/Sans doute/En aucun cas/C’est sûr/J’en suis convaincu/
Ca se peut/C’est exclu /C’est probable.

mardi 6 octobre 2009

ALLERGIES CHEZ LE CHEIN

Les allergies chez le chien


De nombreux troubles fréquemment rencontrés chez le chien comme les démangeaisons, les otites à répétition, le prurit interdigité, les infections de la peau ont pour origine une allergie.Il faut savoir que la gestion médicale des animaux allergiques est, à l'instar de celle des humains, très délicate.

Quels types d'allergies chez le chien ?

Il existe quatre types d'allergies chez le chien :

1. La dermatite allergique aux piqûres de puces (DAPP), qui est la cause principale d'allergie.
2. L'atopie, qui est une prédisposition à faire des réactions allergiques envers plusieurs allergènes (substances responsables de la mise en route des manifestations allergiques), généralement inhalés (acariens de poussière, pollens, poils de chats, squames humains...),
3. L'allergie alimentaire, due à des allergènes ingérés dans la ration,
4. L' "allergie de contact", qui n'est pas vraiment une allergie mais une sensibilisation de la peau au contact de diverses substances (produits ménagers, certains pigments bleus des gamelles en plastique...).

Certains chiens peuvent malheureusement présenter plusieurs types d'allergies. En effet, lorsqu'un chien possède un terrain allergique, il est souvent sensible à de nombreux allergènes.

Quelles sont les substances responsables ?

Les substances responsables de l'apparition d'une allergie sont appelées allergènes. Pour trouver l'allergène responsable d'une allergie chez un chien, il faut procéder selon un ordre précis.En général, on réalise tout d'abord un traitement efficace contre les puces. En effet, une seule puce suffit à provoquer des troubles cutanés très importants chez les chiens. De plus, l'allergie aux piqûres de puces est la plus fréquente chez les chiens.Si malgré l'utilisation fréquente et régulière d'un bon anti-parasitaire (les plus efficaces étant ceux de dernière génération, comme le Frontline en spray) les symptômes du chien persistent, alors on recherche d'autres causes.Le vétérinaire réalise alors un examen dermatologique poussé et pose de nombreuses questions.
Le but est de connaître parfaitement le chien, son alimentation et son environnement : type de revêtement au sol, type de gamelles, arbres présents dans les alentours, animaux avec lesquels il peut être en contact, etc... L'examen du chien ainsi que les réponses aux questions sur l'environnement permettent d'émettre des hypothèses quant aux allergènes auxquels le chien peut être sensible.Il faut tenter d'affiner encore le diagnostic en procédant à l'identification précise du (ou plus souvent des) allergène(s) responsables des troubles. Pour cela, on procède, comme chez l'homme, à des tests cutanés ("skin tests"). Ces tests consistent à injecter un dose infime de différents allergènes (acariens de poussière, puces, arbres, plantes, céréales, ...) dans le derme du chien. Si celui-ci est allergique à certains de ces allergènes, alors une petite réaction (petite plaque rouge) se forme au niveau du site d'injection.Cette méthode est la plus fiable pour déterminer les allergènes en cause lors d'atopie. Pour effectuer des tests cutanés interprétables, il faut que la peau du chien ne soit pas trop irritée et qu'il n'y ait eu aucun traitement à base de corticoïdes ou d'antihistaminiques pendant au moins un mois précédant la réalisation des tests.Si ces tests sont positifs (c'est-à-dire qu'ils ont permis l'identification du (ou des) allergènes responsables), on peut pratiquer éventuellement une désensibilisation et éviter au maximum la présence des allergènes dans le milieu de vie du chien.Si la suspicion de votre vétérinaire est plutôt en faveur d'une allergie alimentaire, il mettra alors en place une régime d'éviction.Cela consiste à nourrir le chien avec des aliments qu'il n'a jamais ingérés auparavant. Il faudra donc essayer de se remémorer ce que votre chien a pu manger pendant toute sa vie pour trouver une source de protéines (poisson ? dinde ? oeuf ? canard ? cheval ? ...) et une source de glucides (pommes de terre ? tapioca ? ...) qu'il n'a jamais eu l'occasion de manger auparavant.Ce régime d'éviction doit être réalisé pendant au moins deux mois afin de voir si cela améliore l'état du chien.Si le chien va mieux, on réintroduit alors progressivement, un par un, des aliments susceptibles d'être responsables des phénomènes allergiques, ceci afin de voir si les symptômes réapparaissent et ainsi trouver l'aliment responsable.Il est également possible de donner au chien directement un aliment dit "hypoallergénique". Ces aliments sont élaborés à partir de sources de protéines et de glucides que les chiens n'ont pas l'habitude de manger (et qui sont rarement responsables de phénomènes allergiques) ou à partir d'hydrolysats de protéines (protéines morcelées).La démarche diagnostique lors d'allergie est certes longue et il faudra vous armer de patience, mais les résultats sont très utiles afin de savoir où se situe "l'ennemi". A propos des analyses de sang ayant pour but de déterminer l'allergène responsable par un simple test, sachez qu'ils sont souvent inefficaces pour déterminer précisément quelle est la substance à l'origine d'une allergie. Les tests cutanés sont préférables ; de plus, c'est toujours cette méthode (qui a fait ses preuves) qui est utilisée par les allergologues humains afin de dépister les allergènes auxquels leurs patients sont sensibles.

Quels traitements possibles ?

En ce qui concerne le traitement des allergies, il n'y a pas beaucoup d'alternatives :
Elimination du ou des allergènes responsables : changement d'alimentation, traitement de la maison contre les acariens...

Désensibilisation lorsque l'éradication de l'allergène est impossible. Cela consiste à habituer, grâce à de très faibles doses, le chien à l'allergène ; ainsi, lorsqu'il sera en contact avec cette substance, il ne devrait plus déclencher de réaction allergique. La désensibilisation peut être réalisée pour plusieurs allergènes (mais on ne peut se focaliser que sur deux allergènes maximum en même temps). Les préparations utilisées sont fabriquées spécialement pour le chien en question, par des laboratoires spécialisés, et ceci en fonction des résultats des tests cutanés pratiqués par le vétérinaire.
Un traitement adjuvant, indispensable (antibiotiques, shampooing, lotion calmante à base de lait d'avoine...) sera indispensable afin de traiter notamment les surinfections de la peau (plaques rouges "purulentes", papules et boutons, croûtes, oedème, ...) qui sont généralement présentes suite aux grattages et aux léchages engendrés par les démangeaisons provoquées par la réaction allergique.
De plus, il est également indispensable de
traiter le chien, son environnement et les autres animaux contre les puces. Cela permet d'éviter des allergies supplémentaires (DAPP par exemple) et des surinfections cutanées (les puces peuvent transporter des bactéries sur leurs pattes).

Conclusion

On ne guérit malheureusement jamais d'une allergie. Les chiens allergiques auront probablement toujours de petits problèmes ; seul un suivi médical régulier lors d'allergie importante et des traitements ponctuels lors de crises permettront à un chien allergique de vivre normalement.Et même si le traitement des phénomènes allergiques est long et délicat, il permet généralement d'apporter beaucoup de confort au chien et à son maître !

LE RHUME DES FOINS ÉCOUTE

Allergie saisonnière: le rhume des foins (À TRAVAILLER POUR LE 09/10/2009)



L’allergie est une réaction physique du corps à des substances qu’il ne supporte pas. Elle s’exprime par un ou plusieurs symptômes parmi lesquels: l’apparition de boutons, les démangeaisons, les gonflements, les yeux larmoyants, les éternuements, le nez qui chatouille ou qui coule. Le rhume des foins est une allergie très courante chez les français.

Activité 7 ECOUTER -Rhume des foins- (20mn) page 24 du guide.


Consigne : Écoutez l’enregistrement 2 fois et répondez aux questions.

1- Qu’est-ce que le Rhume des foins ?
2- Qu’est-ce qui le provoque ?
3- Quelle est la part des gens souffrants de cette maladie qui ne consultent que le pharmacien ?
4- Pour quelle raison ?
5- Quels sont les organes principalement touchés par le Rhume de foins ?
6- La pollinose est associée à :
a) Une rhinite
b) Une conjonctivite
c) Une otite
d) Une amygdalite
7- La pollinose provoque de troubles de : ______________ dus à l’inflammation de _________________
8- Mentionnez 2 symptômes provoqués par le rhume des foins : _________________________________
9- De quel facteur dépend l’aggravation des symptômes ?
10- Une rhinite est considérée comme ________________ si elle survient ______________ par semaine
11- Lors de quelles activités une rhinite sévère entraîne-t-elle des gênes handicapantes :
a) Éducatives
b) Manuelles
c) Physiques
d) Professionnelles
12- Quels sont les deux types de rhinite allergique ?
13- Parmi les allergènes suivants, indiquez ceux qui sont mentionnés :
a) Les cafards
b) Les poussières
c) Les moisissures
d) Les fientes

mercredi 30 septembre 2009

allergies

à voir

Définition


L'allergie est une réaction anormale (pathologique) et spécifique de l'organisme au contact avec une substance étrangère (allergène) qui n'entraîne pas de troubles chez un non-allergique.Un antigène normalement inoffensif, comme par exemple le pollen, peut être jugé par erreur comme dangereux par l'organisme, provoque lors de son contact une réaction générale appelée hypersensibilité, résultat d'une réaction immunitaire.Le rôle du système immunitaire est de reconnaître un corps étranger que l'on appelle antigène. Celui-ci se trouve le plus souvent à la surface des micro-organisme sous la forme de protéines entre autres. La présence de cet antigène amène à produire par l'organisme des anticorps appelés également immunoglobulines et des globules blancs, spécifiquement des lymphocytes qui sont devenus sensibles, plus précisément sensibilisés. Ces globules blancs vont entrer en contact avec ces antigènes ce qui va permettre de détruire les micro-organismes qui portent ces antigènes.L'allergie est un phénomène identique au cours duquel le même processus se déclenche avec la différence essentielle que le système immunitaire va produire alors des anticorps et des lymphocytes sensibilisés par rapport à des substances qui sont devenues inoffensives. En effet, les allergènes identifiés de cette manière sont considérés comme dangereux alors qu'ils ne le sont pas en réalité.Les causes des allergies qui surviennent essentiellement chez les individus qui sont génétiquement prédisposés sont très variables. Les allergies les plus connus sont l'asthme, l'eczéma atopique, la rhinite allergique, l'urticaire etc. Il existe d'autres facteurs susceptibles de favoriser la survenue d'un développement de réaction allergique. La présence de phanères d'un animal allergisant (le plus souvent un chat), les affections virales et les stress sont des exemples de source d'allergie.

Le terme parallergie, proposé par Moro et Keller, du grec para : à côté et allergie, en anglais parallergia, appelée également coallergie, pathergie, désigne la réaction présentée par certains tissus de l'organisme et le plus fréquemment par la peau au cours de la cuti-réaction, réaction survenant à la suite de l'introduction de l'allergène pour lequel le sujet a été sensibilisé mais également réaction survenant à un ou plusieurs allergènes d'espèces différentes. Il s'agit d'un phénomène qui s'observe essentiellement alors que la sensibilisation est intense et récente.

http://www.vulgaris-medical.com/encyclopedie/allergie-generalites-319.html


Classification


L'allergie est donc une réaction inappropriée, ou plus exactement exagérée, se manifestant par un type d'hypersensibilité. Il existe plusieurs types d'hypersensibilité :L'hypersensibilité de type 1, appelée également hypersensibilité immédiate, est la plus fréquente.
Causes :
Ce type de réaction allergique s'explique par la réponse des anticorps (immunoglobulines) élaborés à la suite de la pénétration d'un allergène dans l'organisme. Ces anticorps se fixent sur les mastocytes (variété de globules blancs) situés dans la peau et les muqueuses (couche de cellules protectrices des organes creux en contact avec l'extérieur). Ce type de globules blancs contient de l'histamine (médiateur = messager chimique) à l'origine des symptômes apparaissant lors des réactions allergiques
Les allergènes sont issus :
Des acariens (poussières de maison)
Des squames d'animaux (peau, poils)
Des pollens (arbres, graminées, herbes)
Des moisissures
Des aliments
Des médicaments : pénicilline, vitamine B 1, vaccin, antigènes employés pour la désensibilisation, aspirine, anti-inflammatoires, produit de contraste iodé utilisé pour effectuer une radiographie avec préparation
Des colorants alimentaires (tartrazine)
Des venins d'insecte (guêpes, abeilles)


Symptômes :
Contraction des muscles bronchiques entraînant le symptôme du sifflement dans l'asthme
Eruption de type allergique ou urticarienne accompagnée de démangeaisons
Ecoulement nasal
Obstruction nasale
Eternuements
Conjonctivite
Larmoiement
Toux
Rhume des foins
Diarrhée
Oedème de Quincke (gonflement des paupières, des lèvres, de la langue, de la gorge)
Choc anaphylactique dans les cas les plus graves (malaise, gène respiratoire, frissons, etc...)

L'hypersensibilité de type 2, moins fréquente que la précédente.
Causes :
Ce type de réaction allergique fait intervenir des anticorps de type IgG et IgM. Ce type d'hypersensibilité se rencontre lors des accidents de transfusion, et de l'incompatibilité foeto- maternelle (groupes sanguins différents entre la mère et le fœtus).
Conséquences :
Elle entraîne des anémies hémolytiques (par éclatement des globules rouges).
L'hypersensibilité de type 3
Causes :
Ce type de réaction allergique fait intervenir les anticorps IgG.
Symptômes :
Maladies rénales (glomérulonéphrites)
Maladies pulmonaires
Poumons du fermier (le foin moisi, contenant des champignons comme le thermoactinomyces vulgaris ou le micropolyspora faeni, est inhalé par le fermier)
Maladie des éleveurs d'oiseaux (les plumes et les protéines des déjections desséchées des oiseaux se décomposent en poussières qui sont inhalées)
Lupus érythémateux disséminé (maladie inflammatoire d'origine auto-immune, c'est-à-dire que le malade fabrique des anticorps contre ses propres tissus)
L'hypersensibilité de type 4 est à l'origine de réactions allergiques touchant la peau.
Causes : contact avec des produits comme
Le nickel
Le caoutchouc
Les détergents
Les produits cosmétiques
On la retrouve également dans le phénomène de rejet de greffe
Traitement
Suppression de l'allergène
Désensibilisation par administration de doses croissantes d'allergène, qui favorisent la constitution d'anticorps
Antihistaminiques
Corticoïdes
Cromoglicate disodique (efficace parfois).

LE CHIEN

CHER GUSTAVE JE TE LAISSE LES PAGES WEB OÙ TU TROUVERAS LES VIDÉOS.

http://www.catnisweb.com/Anatomie%20du%20chien.html IMAGES


bon courage

mercredi 23 septembre 2009

DANGER : ESCARRES !

C’est quoi ?
L'escarre est une plaie de pression qui écrase les vaisseaux sanguins en profondeur. Elle apparaît chez les personnes alitées.
On distingue 4 stades d’évolution :
- Stade I : hyperhémie (rougeur) qui ne blanchit pas à la pression
- Stade II : ulcération superficiel, phlyctène
- Stade III : atteinte de la totalité de la peau
- Stade IV : atteinte de la totalité des structures cutanées avec destruction profonde (os, tendons, articulations, muscles)

Lorsqu’une zone se retrouve comprimée, une rougeur apparaît à la surface de la peau. Le sang n'irrigue plus alors les tissus. Ces derniers vont manquer d’oxygène, c'est ce que l'on appelle une hypoxie tissulaire. Si elle se prolonge, les tissus qui ont le plus besoin d'oxygène, comme les muscles et la graisse, meurent et se nécrosent.
Comment se forme une escarre ? L'escarre se développe d'abord en profondeur, avant de s'ouvrir vers l'extérieur. Quand la peau finit par se nécroser et se creuser, les dégâts musculaires sont déjà importants et l'os peut lui aussi d'être atteint.
Des escarres : à cause de quoi ? Chez les personnes handicapées, la position assise à longueur de journée va provoquer des pressions importantes sur les os des fesses. La paralysie, l'absence de mobilité et de sensibilité au niveau de la peau ne permettent pas d'alerter l’arrivée des escarres et de faire les micromouvements qui soulagent d'habitude les points d'appui.

QUESTIONS A FAIRE
1. Quels sont les premiers signes de la formation d’une escarre ?
2. Quelles complications sont à redouter en cas d’escarres ?
3. Quel type de matelas peut-on conseiller aux patients à risque ? Est-ce toujours facile en milieu hospitalier ?
4. Imaginez ! Proposez des solutions de prévention des escarres !

ENVOYEZ MOI VOS RÉPONSES RÉDIGÉES sur mon mail marcifly@voila.fr
BON COURAGE !
POUR TOUT COMPLEMENT D'INFO : http://www.vulgaris-medical.com/encyclopedie/escarre-1810.html
VIDÉO

SOURCE: www.bonjour-docteur.com

Tout ce qu'on présente dans ce blog a évidemment un but pédagogique.

mercredi 16 septembre 2009

LE BEC DE LIEVRE CHEZ LES BEBES

POUR QU'ON COMPARE AVEC L'EXPOSÉ DES ANIMAUX CE SERAIT INTÉRESSANT.

Définition


La fente labio-palatine, plus communément appelée "bec-de-lièvre", est une anomalie qui concerne en moyenne un enfant sur mille chez les Européens. Elle est par contre plus fréquente chez les Japonais et plus rare chez les Noirs américains. Les filles sont deux fois plus touchées que les garçons.

On distingue deux formes de fente : la fente palatine et la fente labiale.
La fente labiale, qui concerne le plus souvent des garçons, correspond à une interruption de la lèvre, souvent associée à une fente du maxillaire, c'est-à-dire une fissure entre la deuxième incisive et la canine. La narine du même côté de la fente labiale est parfois élargie.
La fente palatine, elle, touche plus les filles. Elle se situe sur le palais. Celui-ci est constitué de deux parties différentes que l'on sent en passant la langue sur le palais : le voile, une membrane en arrière, et l'os, situé en avant, derrière les dents. La fente palatine concerne soit le voile soit l'ensemble du palais.
La fente labio-palatine associe les deux types de fentes : labiale et palatine. Elle peut être d'un seul côté ou des deux. Dans 30% des cas, elle est associée à d'autres malformations - cardiaques, digestives ou au niveau du cerveau.
L'origine de ces anomalies remonte à la grossesse, lorsque le visage du fœtus se développe. Entre le 35e et le 40e jour de la grossesse, deux parties, appelées bourgeons, se soudent : le bourgeon maxillaire qui correspond au bas du visage, et le bourgeon naso-frontal qui constitue le nez et le front. Ces deux bourgeons doivent fusionner pour obtenir un visage harmonieux. Si ce n'est pas le cas, une fente plus ou moins importante se forme. L'échographie permet de voir l'anomalie au sixième mois.

http://www.doctissimo.fr/html/sante/encyclopedie/sa_1126_malform_visag.htm
http://www.apic-cancer.com/tabac1.html
http://www.france5.fr/sante/maladie/W00485/3/
http://www.vulgaris-medical.com/encyclopedie/fente-labiopalatine-1893/complications-maladie.html
http://www.bonjour-docteur.com/article.asp?IdArticle=246&IdBloc=Tout vidéo